Je sais, quand on évoque la nouvelle DBS, on pense tout de suite à James Bond, qui pu l’exposer (et l’exploser aussi…) en exclusivité.
Mais chaque fois qu’une Aston sort, je pense personnellement au coupé de Brett Sinclair dans Amicalement Vôtre, et comme celle-ci porte le même nom, ce n’en est que plus logique..
Dans la série, les héros, aux goûts très sûrs, roulent en Aston ou en Dino 246 GT. Une Aston Martin et une Ferrari. Le choix idéal en fait : si vous en avez assez de passer pour un flambeur exubérant au volant de votre Ferrari (ou pire, de votre Lamborghini…), alors sortez l’Aston et regardez la différence : vous voilà transformé en gentleman de l’automobile.
D’abord parce que malgré un look moins ostentatoire, une Aston, et particulièrement la DBS, est belle à se damner. Le design est somptueux et conserve bien l’esprit de la marque malgré les nouveaux appendices aérodynamiques orientés tuning. Mais l’intérieur est carrément un écrin : les compteurs ont été dessinés par Bulgari, le cendrier est en cristal, du cuir et de l’alcantara partout…ambiance.
L’extérieur, proche du design de la marque, s’en différencie avec une dose d’agressivité supplémentaire avec quelques appendices à mon avis bien intégrés. Et pour autant, vous n’êtes pas là pour amuser la galerie, mais pour vous amuser, vous : V12, 6 litres, 510 chevaux, un échappement actif qui renforce la symphonie du moteur…Le bonheur donc.
Avec un 0 à 100 expédié en 4,3 s et 302 KM/H, l’Aston Martin DBS propose des chronos de très bons niveaux, même si son poids (+ de 1,6T) et son châssis typé GT n’en font pas la reine de l’efficacité sur circuit. Mais sa vocation n’est pas là, n’oubliez pas que vous avez votre Ferrari pour ça.
Et pas la peine non plus de parler des 240 000€ TTC réclamés par votre concessionnaire, hors options et personnalisation bien entendu, ce serait un peu trop vulgaire..
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